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Les nouvelles tendances !

Partout dans le monde et aussi en France, l’externalisation progresse. La raison est simple : les entreprises se rendent compte que certaines activités sont mieux exécutées par des prestataires davantage spécialisés… et plus créatifs.

« Lorsqu’elle externalise, une entreprise recherche deux choses : mieux s’organiser et trouver de nouvelles sources de créativité » explique Tony Bocock, Directeur Associé chez Better Buying Concepts. Evidemment, la question financière n’est jamais très loin et doit prendre en compte les analyses de création de valeur : les gains de productivité sont plus élevés lorsqu’on laisse les personnes spécialisées s’en occuper et que l’on se concentre sur son cœur de métier !

Donneur d’ordres et prestataire

Cette relation est cruciale mais hélas souvent négligée. « Et la plupart du temps, c’est la faute du client » remarque avec humour Tony Bocock. Pourquoi ? Parce qu’il ne s’investit pas suffisamment dans la gestion du projet. D’où l’importance pour le prestataire de bien déterminer en amont les différents niveaux de service puis d’opter pour une très grande transparence : « Il faut savoir dire les choses aux clients, et vice et versa » souligne Sébastien Budillon, Directeur Général d’ITIREMIA. La solution ? Du cadrage en amont, et des comités de pilotage réguliers pour résoudre ou anticiper les problèmes.

Contrats plus courts ?

Pourtant, dans une économie compliquée, la tentation est forte d’imposer des contrats plus courts. Or, selon Tony Bocock, « ce n’est absolument pas la bonne approche. Un fournisseur de services doit avoir de la visibilité sur son business. Des contrats courts traduisent une vision limitée ainsi qu’une confiance réduite dans la capacité du partenaire à gérer le contrat. » Au final, sans confiance, on navigue à vue et on limite les bénéfices de l’externalisation.